On retrouve l’appellation « Sucre d’orge »  dans les années 1600. Ce sont les bénédictines du prieuré de Notre-Dame des Anges à Moret-sur-Loing qui découvrirent que la décoction d’orge perlé pouvait colorer et parfumer le sucre de canne cuit. Il servait de médication calmant les maux de gorges. Aujourd’hui, l’orge ne fait plus parti de la composition, le bonbon s’est transformé en un sucre cuit aromatisé, formé en bâtons gros comme le doigt.

On retrouve l’appellation « Sucre d’orge »  dans les années 1600. Ce sont les bénédictines du prieuré de Notre-Dame des Anges à Moret-sur-Loing qui découvrirent que la décoction d’orge perlé pouvait colorer et parfumer le sucre de canne cuit. Il servait de médication calmant les maux de gorges. Aujourd’hui, l’orge ne fait plus parti de la composition, le bonbon s’est transformé en un sucre cuit aromatisé, formé en bâtons gros comme le doigt.

On retrouve l’appellation « Sucre d’orge »  dans les années 1600. Ce sont les bénédictines du prieuré de Notre-Dame des Anges à Moret-sur-Loing qui découvrirent que la décoction d’orge perlé pouvait colorer et parfumer le sucre de canne cuit. Il servait de médication calmant les maux de gorges. Aujourd’hui, l’orge ne fait plus parti de la composition, le bonbon s’est transformé en un sucre cuit aromatisé, formé en bâtons gros comme le doigt.